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O Fortuna, velut luna statu variabilis, semper crescis aut decrescis; vita detestabilis nunc obdurat et tunc curat ludo
Publié : ven. déc. 12, 2025 3:11 pm
par Lataupe

Brueghels l'ancien * deux singes
énigme médiévale :
Moine paillard...
7 lettres
Re: O Fortuna, velut luna statu variabilis, semper crescis aut decrescis; vita detestabilis nunc obdurat et tunc curat l
Publié : ven. déc. 12, 2025 4:31 pm
par Latite
Re: O Fortuna, velut luna statu variabilis, semper crescis aut decrescis; vita detestabilis nunc obdurat et tunc curat l
Publié : ven. déc. 12, 2025 6:41 pm
par Sylvie
Oh !

Re: O Fortuna, velut luna statu variabilis, semper crescis aut decrescis; vita detestabilis nunc obdurat et tunc curat l
Publié : sam. déc. 13, 2025 9:56 am
par Lataupe
Oh!
coucou ensoleillé Sylvie !
un clerc, lettré et paillard...
Re: O Fortuna, velut luna statu variabilis, semper crescis aut decrescis; vita detestabilis nunc obdurat et tunc curat l
Publié : sam. déc. 13, 2025 10:17 am
par Sylvie
goliard
Bonjour dans le brouillard

Re:Sylvie / gol (O Fortuna, velut luna statu variabilis, semper crescis aut decrescis; vita detestabilis nunc obdurat et
Publié : sam. déc. 13, 2025 10:23 am
par Lataupe
Yess Sylvie !
Wikipedia : Les goliards sont traditionnellement désignés comme étant des clercs itinérants (latin : clerici vagantes ou clerici vagi) des XIIe et XIIIe siècles qui écrivaient des chansons à boire et des poèmes satiriques (et parfois d’amour) en latin. Ils étaient principalement issus des écoles puis des universités de France, d’Italie, d’Angleterre et de l’Empire, et protestaient contre les contradictions grandissantes au sein de l’Église, telles que l’échec des croisades et les abus financiers, ainsi que contre certains écarts de la royauté et de la noblesse[2]. Ils s’exprimaient en latin à travers la chanson, la poésie et la représentation théâtrale. De nombreux poèmes de l’ensemble des Carmina Burana appartiennent à ce mouvement.